De nos jours un grand nettoyage est en cours dans le monde de l’influence. Les réseaux sociaux sortent les comptes qui ont trop de faux followers. Les agences et service de communication vérifient la réalité d’un influenceur. 

L’ARPP et la DGCCRF ont rappelé les bonnes pratiques aux agences qui les répercutent auprès des influenceurs.

Google est au top, Youtube lui appartient. Le SEO n’est plus un gros mot, le community management est une fonction de base d’un influenceur. La création de contenu commence à être reconnu par certains professionnel du marketing et de la communication. Des youtubeurs, des blogueurs sont sollicités pour créer des campagnes pour des marques, ou bien pour créer des séries spéciales de produits qui partent comme des petits pains.

De gros influenceurs vivent bien de leur passion. De plus petits influenceurs sont reconnus pour leur expertise sur certains sujets. 

Les influenceurs BtoB sont également en train d’émerger et d’obtenir de la reconnaissance.

De nos jours le mot influenceur n’est presque plus un gros mot. Il désigne un créateur de contenu reconnu pour son expertise, pour sa communauté, pour sa capacité à engager, à ce que sa communication rayonne.

Aujourd’hui il y a même des professionnels. Des E-RP, spécialisés dans la relation avec les influenceurs, des Influence Manager spécialisés dans la mesure et le pilotage des actions effectués par les influenceurs. Il y a des consultants en Influence Marketing et même des influenceurs en Influence Marketing. C’est dire comme tout cela est en train de se professionnaliser.

Des outils de monitoring, de supervision, de relation se créent. Pour le moment il y a peu de vrais experts sur le sujet avec du recul, de l’expérience, une vision de l’ensemble des sujets, mais cela se construit petit à petit. 

On peut dire que cela va dans le bon sens. Mais est-ce suffisant ?